Le thermolaquage est une opération de traitement de surface qui consiste à appliquer une peinture poudre sur une pièce métallique galvanisée ou métallisée ou ayant subi une préparation préalable, puis à cuire au four ce revêtement. La qualité du thermolaquage dépend d'abord de la qualité de la préparation de la surface galvanisée avant poudrage, puis des caractéristiques techniques de la poudre. L'utilisation d'une peinture poudre polyester qualité architecturale permet d'offrir les meilleures caractéristiques de tenue aux atmosphères extérieures.
La métallisation : consiste à introduire un matériau, sous forme de fil (zinc), cordon ou baguette, au centre d'une flamme oxy-combustible produite par un chalumeau et à le projeter sur le support préalablement sablé. La flamme est uniquement utilisée pour fondre le matériau d'apport, dont la projection des gouttelettes sur le support est assurée par un jet d'air comprimé qui atomise et propulse le matériau fondu.
Le sablage est une technique industrielle de nettoyage des surfaces en utilisant un abrasif projeté à grande vitesse à l'aide d'air comprimé au travers d'une buse, sur le matériau à décaper. La projection de sable à grande vitesse sur une surface a plusieurs effets :
La galvanisation à chaud au trempé consiste à revêtir et à lier de l'acier avec du zinc en immergeant l'acier dans un bain de zinc en fusion à 450 °C environ. Ce procédé ne consiste pas uniquement à déposer du zinc à la surface de l'acier. Le revêtement de zinc est chimiquement lié à l'acier de base, car il se produit une réaction chimique de diffusion entre le zinc et le fer. Quand on retire l'acier du bain, il s'est formé à sa surface plusieurs couches d'alliages zinc-fer sur lesquelles le zinc entraîné se solidifie.
Un peu d'histoire...
L'histoire du fer forgé se déroule sur une période de près de 1000 ans, au cours desquels les techniques, les assemblages, l'esthétique ne cessent de se transformer. Il est intéressant de savoir que ces évolutions ont toujours été liées de près aux modes de production du fer.
En France, les premières manifestations de l'art de travailler le fer remontent à l'époque dite de la Tène, 500 ans avant J.C. Il reste très peu de travaux de cette époque.
A la fin du Moyen Age, le fer est produit en très petite quantités directement à partir de minerais "réduit" au charbon de bois dans de petits fourneaux. Ce fer était inutilisable tel quel, il fallait le réchauffer à nouveau et le marteler afin de l'épurer et de le rendre homogène.
Au XII siècle, grâce à l'apparition des moulins à eau, la température des fours augmente ainsi que leur volume. On obtient ainsi la fonte. A la fin du XVIII siècle, par l'intermédiaire du procédé de décarburation de la fonte, on obtient de l'acier.
Aujourd'hui, les aciéries fournissent le matériau laminé en différents profils et dimensions. Ce fer n'est d'autre qu'un acier doux ADX, capable de s'adapter à toutes les circonstances dans la construction général.
LE FER peut être obtenu à partir du minerai par chauffage avec du charbon dans un bas-fourneau : on obtient un morceau de fer impur qui est débarrassé de son laitier par martelage. On peut aussi l'obtenir par décarburation de l'acier, ensuite obtenu dans un haut-fourneau à partir de minerai et de charbon. Le fer se loge dans les roches, on l'utilise pour faire de l'acier.
L'ACIER : Alliage métallique constitué de fer (métal de base) et de carbone (< 2%) avec éventuellement des éléments d'addition (métalliques ou non). Il a une densité de 7.8 environ.
LA FONTE : Alliage fer-carbone dont la teneur en carbone est supérieure à 2% avec d’autres éléments tels que manganèse, silicium, soufre... Le carbone en excédent du pourcentage soluble est présent sous forme de graphite finement dispersé.
Une petite définition de l’escalier : c’est une succession de plans horizontaux, les marches, qui permettent de relier deux points ayant des hauteurs différentes.
Le calcul de la dimension et de la position de ces marches est régit par des règles et des normes permettant d’obtenir un escalier agréable à utiliser. Ces normes sont générales à tous les métiers, seule la conception de l’escalier varie en fonction du type de matériau (bois, métal, béton ,verre, etc.) utilisé et de l’aspect souhaité : fixation des marches, taille et position des limons, etc.
Ces bases de calcul sont également valables pour tous les types d’escaliers : escalier droit, escalier hélicoïdal et escalier balancé.